Ateliers danse au Collège Fraissinet

Les ateliers ont commencé avec la classe de 4° du collège Fraissinet d’Audrey Oullier, dans le 4ème arrondissement à Marseille.

Cette année, c’est l’artiste Elena Thomas qui intervient auprès de cette classe très motivée.

Elena a débuté sa formation à l’Ecole Nationale Supérieure de Danse de Marseille puis au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Lyon. Son parcours d’interprète l’a mené d’Europa Danse, compagnie pour jeunes danseurs, à plusieurs grandes compagnies comme le Ballet National du Rhin, La Mov’, implantée à Zaragoza en Espagne ou la National Dance Company Wales à Cardiff. Elle se réinstalle à Marseille en 2018 pour développer des projets personnel comprenant un volet transmission.

Dans les ateliers, les adolescents explorent le thème de « démocraties ». Ils ont ainsi choisi plusieurs mots, en rapport pour eux avec cette notion. Avec Elena, ils inventent une chorégraphie basée sur un code gestuel des bras et des mains, en rapport avec les mots proposés.

Des modules à deux permettent d’expérimenter la confiance à l’autre, en se laissant manipuler ou en travaillant en appui avec le corps de son camarade.

Des matinées très intenses, où les jeunes donnent le meilleur d’eux-mêmes…

La restitution de leur travail sera montrée le 15 juin pour l’ouverture du Festival de Marseille à la Friche la Belle de Mai.

La danse vue par l’école maternelle Bernabo

Les grandes sections de l’école maternelle Bernabo (classe de Guillaume Caytan) ont illustré, après la première intervention en classe, leur vision de la danse. Une série de bonhommes en action, mais aussi des baleines qui dansent dans la mer ou un cosmonaute effectuant une chorégraphie dans sa fusée.

La danse vue par les CE1 de l’école Fraissinet

Les CE1 de l’école Fraissinet de la classe de Nathalie Ocana participent au parcours du danseur du Festival de Marseille. Ils ont commencé le projet par réaliser un dessin sur leur vision de la danse.

École National – CE2 et ULIS- nos impressions

Pour la séance de découverte de la danse sur le thème « Monde d’histoires, Histoire du Monde », les CE2 et la classe ULIS de l’école National  ont eu l’occasion de découvrir des danses qui s’inspirent du corps ou des histoires des interprètes pour interroger le monde. Leurs réactions ont été écrites à l’issue de la séance.

J’ai aimé la danse hip-hop. Je n’aime pas le dictateur car il assassine les gens et il est méchant. Fayad

J’ai aimée comme ils dansent dans GALA. J’ai aimée aussi 100% Marseille parce que c’était joli et intéressant. Je n’ai pas aimée les Congolais parce que ce n’était pas joli. Dorya

J’ai aimé le salto arrière et un monsieur qui a aidé une adolescente à monter sur les épaules du monsieur. J’ai aimé car c’est impressionnant. Je n’ai pas aimé le monsieur avec une robe et 100% Marseille. Je n’ai pas aimé parce que c’est très inhabituel et vraiment rigolo. Louise

Ce que j’ai aimé c’est la danse congolaise, parce que je danse de la même façon. Ce que je n’ai pas aimé, c’est la danse de Serge-aimé Coulibaly. Je n’ai pas aimé parce que je n’aime pas leurs façons de danser. Anita

J’ai aimé le moment où on a vu un extrait de Jérôme Bel parce que c’était rigolo. Je n’ai pas aimé le spectacle 100% Marseille à cause des moments « moi – pas moi ». Aïda

Pour moi, ce que j’ai aimé c’est le spectacle 100% Marseille parce qu’ils ont posé des questions bizarres. Je n’ai pas aimé celui de Serge-Aimé parce qu’il y avait un dictateur. Sarah

Je n’ai pas aimé le spectacle 100% Marseille parce que c’était ennuyant. J’ai aimé quand le danseur a porté quelque chose sur ça tête. Sama

J’ai aimé l’histoire de Serge Kakudji et le spectacle GALA. J’aime bien GALA, c’est les danses que j’ai aimées. Je n’ai pas aimée Candoco parce que je n’ai pas trop compris ce qu’il se passait. Nyma

J’ai aimé le congolais Serge Kakudji quand le monsieur a fait un saut et il y avait un monsieur qui ressemble à Aubameyang. Je n’ai pas aimé GALA de Jérôme Bel. Mehdi

Ce que j’ai aimé c’est quand Serge Kakudji faisait de l’opéra. Ce que je n’ai pas aimé c’est Candoco parce qu’il faisait la langue des signes. Nawoid

J’ai aimé quand ils ont fait des cabrioles et le « coup FATAL ». Il n’y a rien que je n’ai pas aimé. Fares

J’ai aimé parce qu’il y avait des danseurs qui faisaient des gestes rigolo et des « yamakasi » qui ont fait le spectacle. J’ai aimé aussi le monsieur avec le tutu dans GALA de Jérôme Bel. Je n’ai pas aimé les gens qui se bagarrent pour des choix dans « coup fatal ». Yanis

Je n’ai pas aimé la danse Congolaise. J’ai aimé la danse dans Gala de Jérôme bel quand c’était la danse de Michael Jackson. Nour

J’ai aimé ce qui faisait rigoler comme GALA de Jérôme Bel. Je n’ai pas aimé Candoco et ce qui ne faisait pas rigoler. Angelina

J’ai aimé quand les Congolais ont dansé et leurs manières de bouger. Je n’ai pas aimé le spectacle de Serge-aimé Coulibaly parce que ce n’était pas intéressant. Nassim

J’ai aimé quand le monsieur a mis la chaise sur son nez. Je n’ai pas aimé quand il a frappé l’autre monsieur. Ahmad

Ce que j’aime c’est GALA de Jérôme Bel parce qu’il m’a fait beaucoup rire. Ce que je n’ai pas aimé c’est coup fatal parce qu’il ne m’a pas fait rire. Aïdam

J’ai aimé quand on a regardé les danses africaines parce que c’est trop rigolo. Je n’ai pas aimé la danse de Serge Aimé Coulibaly parce qu’il y avait la guerre. Abdeljalie

J’ai aimé la danse où il y avait des sitars parce que c’est une musique que j’ai déjà entendu dans un film Congolais. Je n’ai pas aimé la danse congolaise parce que je n’aime pas leurs vêtements. Izdati

J’ai bien aimé cette séance car j’ai appris des danses nouvelles et rigolotes. Je n’ai pas aimé quand il y avait des danses que je connaissais déjà. Yoan

J’ai aimé quand les danseuses ont dansé parce que ça ma fait rire. Je n’ai pas aimé quand le danseur avait un tutu parce qu’il dansait bizarrement. Asmira

 

Lycée Joliot Curie – retour sur la danse engagée

Pendant la séance, nous avons parlé de chorégraphes et d’artistes qui défendent une pensée politique à travers leur art, qui parlent de l’histoire du monde pour proposer une vision de la société dans son ensemble. Avec les élèves de 1ères du Lycée Joliot Curie, nous avons pu aborder certains sujets graves et analyser ensemble cette manière d’aborder la création artistique. Voici leurs retours à l’issue de la séance.

Pendant la séance on a évoqué plusieurs chorégraphes dont celui qui va s’occuper de nous pendant 5 séances. Nous avons visionné de nombreuses vidéos, certaines en rapport avec l’histoire du chorégraphe qui l’a créé. Nous avons également visionné des transpositions de la pièce de Shakespeare : Macbeth. Nous avons vu aussi une sorte de musée humain. Les sujets abordés peuvent être des sujets sensibles et il est bien que des chorégraphes transposent leurs histoires. Laura

C’était intéressant de ressentir autant d’émotions à travers la danse, la musique utilisée et parfois même les paroles. Les mouvements sont très expressif et le message à faire passer est en général compris par celui qui écoute et regarde la représentation. J’aime aussi beaucoup le fait de défendre des causes à travers l’art.

Les extraits visionnés nous ont appris de nombreuses dance et des impressions différentes. Des émotions, notamment vis-à-vis de la guerre au Congo, avec la scène où la femme raconte son expérience.

La séance m’a donné une autre vision de la danse, c’est un art engagé aussi. J’ai préféré la danse avec le crew «Flex’n ».

J’ai bien aimé le spectacle de Dorothée Munyaneza car le thème (génocide au rwanda) m’a touché.

J’ai bien aimé le mélange de style dans « coup fatal ». C’est intéressant de pouvoir unifier/réunir les gens par la danse. Communiquer et faire passer des messages en dansant me semble très efficace. Dorothée Munyaneza est très touchante dans son spectacle autobiographique sur son adolescence au Rwanda. Mais j’ai pensé que c’était plus du théâtre que de la danse.

Mon spectacle préféré a été Flexn, j’ai beaucoup aimé les changements d’énergie dans les différentes scènes. J’ai beaucoup aimé les mouvements et les types de danse proposé. Certains mouvements étaient impressionnants. J’aime beaucoup les danses de rue. Les moments lent et calme procurent beaucoup d’émotions comme la tristesse. Cela montre aussi que l’on peut dénoncer à travers la danse et l’art.

Ces spectacles étaient émouvants et prenant. Ils étaient tous bien dansé et appréciable à voir comme à entendre. L’histoire des génocides était très questionnable. Ryan

Durant cette séance, les différents extraits regardés étaient fort intéressants. En effet, au fur et à mesure, j’en apprends de plus en plus. L’histoire des génocides ma beaucoup interpellé. Yohan.

J’ai bien aimé cette séance sur les émotions transmises par les danseurs (Notamment leur souvenir). La femme qui racontait le génocide du Rwanda m’a beaucoup touché. Les performances de Flexn m’ont également beaucoup plus : C’est très plaisant à regarder et moderne. On peut voir que les horreurs de notre monde peuvent être expliquées à travers la danse.

J’ai appris aujourd’hui que la musique et la danse pouvaient provoquer des émotions (Tristesse, joie ou encore la peur). Nous l’avons vu par exemple dans l’extrait du spectacle de Dorothée Munyaneza (Inspire la peur puisqu’elle raconte les images du génocide qu’elle a vu au Rwanda). Nous avons vu des émotions aussi dans une forme de Hip Hop : Flexn (tout d’abord par le choix de la musique mais aussi par des mouvements fluides et grands). Léa

Pendant cette séance, Nous avons vu différents artistes. Comme Serge-aimé Coulibaly. Il y avait du HIP-HOP dans un extrait. Il y avait un extrait qui exprimait la révolte. Léa

Mon préféré : Flexn. C’est un spectacle que je pourrais aller voir parce que j’adore le hip-hop, les danses de rues et parce que ça dénonce quelque chose. Munyaneza n’est pas un spectacle que j’irais voir mais j’ai trouvé l’histoire touchante.

J’ai bien aimé le spectacle de Brett Bailey car il raconte une histoire en la modernisant. Il permet de montrer la face caché de la mondialisation. Cette séance était orientée vers les massacres survenus en Afrique. Lamia

J’ai bien aimé encore ces vidéos de danse, surtout où c’était les africains, mais au moment où ils ce déboitaient les épaules ça me dégoutais un peu et j’avais du mal à regarder. Mais c’était plutôt bien aussi quand il y avait un groupe qui faisait comme de la danse de rue. Ylvana

J’ai aimé découvrir le travail de Serge Aimé Coulibaly car nous allons travailler avec lui. Je découvre aussi qu’on peut exprimer des sentiments et raconter des histoires en dansant. Je trouve ça intéressant mais j’ai du mal à reconnaitre ce qu’expriment les gestes. Lola

J’ai bien aimé les idées de Serge-aimé avec son point de vue sur le monde, que l’on est tous identique et que ce n’est pas parce que l’on appartient à un continent, ville, … que l’on doit être identique à eux. J’ai bien aimé aussi le spectacle nous présentant le génocide car il permet de faire passer un message fort. Clément

Je n’ai pas grand-chose à dire, comme toujours instructif mais pas assez ouvert au débat. L’art n’est qu’une question de point de vue. Louis

La séance m’a plu. J’ai hâte d’aller voir le Sacre du printemps car il a l’air très intéressant. On a beaucoup parlé des transpositions/Adaptations comme celle de Shakespeare. On a abordé de nombreux thèmes du pouvoir et de ses conséquences. J’ai beaucoup aimé le petit extrait Flexn, ça m’aurait vraiment plu de le regarder. On a donc pu remarquer que la danse raconte une histoire même si elle peut paraitre abstraite. Hâte d’entamer le projet. Mélina

La séance a été composée de spectacles plus intéressants car plus engagés. J’ai aussi aimé le coté chant avec les chœurs. Je trouve ça plus puissant car l’ensemble des gens donnent une « force de conviction ». Mais je n’ai pas trop aimé les spectacles trop « histoire » avec moins de dance. Marien

Les danses qui mélangent opéra et danses du Congo m’ont beaucoup surprise : On n’imagine pas mélanger ces deux styles d’art, mais le résultat est vraiment bien ! Le spectacle qui raconte le massacre à la guerre civile est très touchant. Le jeune homme qui se déboite les épaules est vraiment impressionnant ! Enfin les danses avec 40 danseurs sont recherchées et donne un très bon truc ! Lila

Cette séance nous a montré l’horreur de la guerre en Afrique, que des personnes étaient exposées comme des objets du fait de leur couleur de peau. La danse montre la souffrance des peuples. Ils souhaitent montrer qu’ils ne sont pas différents en inventant la SAPE.             Jade

Mon préférée, c’est le spectacle de Dorothée Munyaneza car elle nous met face à ce qui s’est passé et on n’a pas d’autre choix que d’accepter la réalité. J’aime aussi Flexn car le monde et l’histoire Américaine m’intéresse et quand il se disloque épaules, on a mal pour eux. Marion

Cette séance m’a vraiment bien permis de visualiser ce que des personnes dites « différentes » ressentent à cause des guerres et génocides qui sont très brutal et marquante. Ils nous font ressentir leur souffrance vécue, ce qui est assez triste. Ils souhaitent, à travers la sape, le mélange de culture, de voix (Ex : Un homme avec la voix aigüe), nous montrer qu’ils ne sont pas différents et que la danse n’a pas de frontière. (Ils dénoncent la discrimination au niveau ethnique). Narimane

 

Ateliers avec Serge-Aimé Coulibaly et Hippolyte Bohouo

Trois établissements travaillent avec Serge Aimé Coulibaly, chorégraphe de la Faso dance théâtre compagnie qui présentera Kalakuta republic le 9 juillet au Festival de Marseille au MUCEM. Ce dernier travaille en collaboration avec Hippolyte Bohouo pour animer des ateliers de création auprès des CM1 de l’école Lapin Blanc, des 5èmes du Collège Villon et des 1ère du Lycée Joliot Curie à Aubagne.

Les trois classes auront un moment commun lors de la restitution à la Friche, le vendredi 26 juin 2017 à 18h, mais travaillent chacune sur des séquences différentes. Les 5èmes explorent le jeu des statues et ont crée des chorégraphies par petits groupes sur des rythmes saccadés, les 1ères se sont inspirés d’objets ou de personnages célèbres, ou du principe de raconter une histoire en cadavre exquis. Avec les CM1, nous avons travaillé sur les émotions, toujours en groupes. Chacune classe raconte son histoire et montre sa personnalité dans la danse !

Retour sur la séance -école Lapin Blanc

La deuxième séance de la thématique « Monde d’histoires, Histoire du Monde » est très politique ! Avec les enfants, nous avons parlé de chorégraphes qui défendent, à travers leur danse, l’égalité et la liberté. des artistes qui pensent que l’on peut parler d’histoires personnelles, mais  aussi de l’Histoire du Monde par le biais de l’art, pour partager des émotions. Voici les impressions des enfants de CM1 (classe de Laetitia Gosselin) de l’école du Lapin Blanc sur cette séance.

J’ai aimé même si on a fait que de parler de choses tristes, moi sur ce dont on a parlé moi je trouve que c’est injuste, que ça se fait pas de diviser un village en deux et que une des deux parties fassent la guerre contre l’autre partie. Je trouve que c’est triste ce qu’a vécu Dorothée Munyaneza ça me fait peur mais d’un autre côté je suis en colère car je n’aime pas la guerre. J’ai ressenti de la tristesse de la colère et de la peur et en plus je trouve que le racisme n’est pas juste, tout le monde peut danser qu’on soit noir ou blanc, on peut danser sur la musique que l’on veut où on veut et comme on veut. Jasmine

Aujourd’hui, tout m’a intéressée, les danses, les chants, les vidéos et bien sur les histoires ! En un mot, tout était super. L’histoire de Fela était terrifiante ! Le pauvre, on lui a brulé sa maison ! et tué sa maman. En un mot tout était génial. India

J’ai aimé parce que c’était trop bien les extraits étaient intéressants il y avait de la violence, une ou deux fois de la joie et j’ai bien aimé l’histoire de zombie. Veronika

J’ai aimé car cela m’a appris des choses sur la danse sur Serge Kakudji et sur Fabrizio Cassal et enfin sur Serge –Aimé Coulibaly. Moi perso je trouve que les blanc et les noirs sont pareils la couleur ne permet pas de juger la personne ; Elle est peut être présidente et quand les gens sont racistes ça abime le monde. Merci aurore et Séline. haris

J’adore les bras cassés j’ai bien aimé Selin la nouvelle et Aurore. Surtout j’ai hâte de rencontrer Serge Aimé Coulibaly un professionnel de danse. Céline

J’ai aimé car j’ai beaucoup appris et j’ai beaucoup aimé Brooklyn. J’ai tout aimé. Sofiane

J’ai beaucoup aimé car ça m’a appris des choses sur Serge –Aimé Coulibaly qui exprime beaucoup de choses. Et aussi sur Fela Kuti qui était trompettiste et il jouait très très bien de la trompette. Mais Dorothée Munyaneza était très belle elle était magnifique et en plus elle raconté sa vie comme dans Flexn. (C’était trop bien, j’ai adore) Hiba

J’ai aimé car j’ai adoré revoir le spectacle de Reggie Rock. J’ai aimé aussi le spectacle de Serge Kakudji de Alain Platel et de Fabrizio Cassol. C’était rigolo, même trop. Léo

J’ai aimé car l’histoire du pays m’a intéressé, j’ai appris ça avec de la danse. Comme quoi on peut tout savoir ! Maxence

J’ai pas aimé il y a trop de violence c’est trop triste. Christophe

J’ai aimé car j’ai appris plein de trucs et plein d’autres choses et les sentiments j’ai eu de la peine car c’était triste. Lorenzo

J’ai aimé quand elle a mis la musique de Zombie. Lionel

J’ai aimé parce que les spectacles étaient bien réalisés et que c’était rigolo aussi il y avait des émissions. William

J’ai moyennement aimé car je n’ai pas aimé Dorothée Munyaneza mais j’ai adoré le Flexn tout comme Coup fatal et aussi le spectacle de Serge – aimé coulibaly. En tout j’en ai aimé 3 sur 4. Julien

J’ai aimé car c’était très intéressant. Au spectacle de Dorothée Munyaneza j’ai ressenti de la peine, de la peur et de la colère. J’adore la danse ! Céline

J’ai rien aimé car je me suis ennuyé. Sauf le bras cassé car j’en ai fait avec mon papa. Clément

J’ai tout aimé, j’ai aimé Serge Kakudji, Alain Platel, Dorothée Munyaneza. Lisa

Moi j’ai beaucoup aimé surtout l’extrait sur Dorothée Munyaneza car ce qu’elle a voulut représenter m’a énormément toucher j’ai ressenti des émotions très fortes comme la tristesse ou la colère surtout que la colère parce que je trouve que ça ne se fait pas de venir sur le territoire de personne et de les tuer parce qu’ils n’ont pas la même couleur de peau c’est du racisme et c’est mal. Elisa

Ce que j’ai aimé c’est quand on a parlé de Dorothée Munyaneza. Quand j’ai écouté son histoire j’ai ressenti de la peur de la colère et de la tristesse J’avais les larmes aux yeux. J’ai bien aimé voir la danse de Serge Aimé Coulibaly, ça a été triste l’histoire de Dorothée Munyaneza. J’ai beaucoup aimé le rap la chanson et la chorégraphie. Elyes

Parfois je ressentais de la peur, parfois de la joie , de la tristesse. Par exemple pour Fela son histoire et celle de Dorothée qu’elle a vécu quand elle avait 12 ans seulement ça devait être très compliqué de vivre par terre avec des morts ou des vivants. Inès

J’ai aimé car j’ai revu Flexn que j’aime bien et Coup fatal avec Serge Kakudji. On a vu Serge-Aimé Coulibaly (celui qui va danser avec nous ) Des professionnels faisaient des acrobaties. Antoine

Aujourd’hui , nous avons parlé de Serge Kakudji qui a mélangé des danses avec Alain Platel et Fabrizio Cassol leur spectacle s’appelle : coup fatal.

Il y avait aussi Dorothée Munyaneza qui a été chassée de son propre pays, elle a du s’enfuir avec sa famille sauf son frère qui était dans un autre pays et Dorothée n’a pas vu sa mère pendant trois mois. J’ai beaucoup aimé. Stella

Ateliers avec Dorothée Munyaneza

La chorégraphe et chanteuse Dorothée Munyaneza présentera Samedi détente au Festival de Marseille, une pièce autobiographique sur le génocide rwandais, vécu du haut de ses douze ans. Elle sera également présente au Festival d’Avignon avec sa dernière création, Unwanted.

Depuis le mois de février, Dorothée Munyaneza anime des ateliers de création chorégraphiques avec 4 classes marseillaises : les CM2 de l’école Félix Pyat, les CE2-CM1 de l’école Air Bel, les 6èmes des collèges Triolet et Versailles.

En primaire, les ateliers s’organisent autour de l’imagination des enfants, à l’école Félix Pyat, les enfants ont pour mission d’observer les personnes âgées et de chercher comment les incarner dans le corps, à l’école Air Bel, nous travaillons autour des langues du pays d’origine des enfants avec le mot « danse » dit dans ces différentes langues. Les enfants ont aussi joué au lion et à la proie en s’avançant tout doucement, tous ensemble, à l’unisson, un jeu de concentration et d’écoute.

Un projet danse inclusif Roquevaire-Marseille

Trois établissements scolaires travaillent avec deux jeunes chorégraphes du MarsLab, un dispositif pour jeunes artistes du Festival de Marseille : les enfants et adolescents suivent des ateliers avec Roméo Nasser, chorégraphe hip hop d’ATL crew et Chloé Beillevaire, formée à la danse contemporaine.

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Lycée Joliot Curie- retour sur la séance

La classe de 1ère du Lycée Joliot Curie à Aubagne participe au parcours du danseur avec Serge-Aimé Coulibaly. lors de la deuxième séances « monde d’histoires », nous nous sommes intéressés aux artistes qui partent du corps ou de la personnalité de leurs interprètes pour créer.

Lilas

Les jeux de société (Stéphanie Aubin) sont très intéressants : les images sont en rythme avec la musique et l’on veut que la vidéo continue encore. Pour les spectacles amateurs, j’ai bien aimé le fait qu’indirectement, tout le monde se connaît, mais le terme « Gala » ne me semble pas approprié car il n’est pas travaillé et les danseurs découvrent la chorégraphie en même temps que les spectateurs. Le concept est néanmoins très intéressant et cela marque une grande ouverture d’esprit.

Eva

Au cours de cette séance, j’ai découvert beaucoup de chose mais mon avis diverge. J’apprécie la représentation « jeux de sociétés » mais je n’aime pas du tout les performances et l’idée de se mettre en transe : pour moi il n’y a aucun art dans cette pratique, c’est très dérangeant. Or, j’ai bien aimé le concept 100% Marseille.

Léa

Lors de cette séance, j’ai découvert que la danse pouvait être différente selon les chorégraphes, les personnes choisies, les interprétations… Nous avons vu que la danse nous permet d’être nous même et de rechercher le talent qui se cache en nous, tel que dans Gala de Jérome Bel. Dans l’interprétation de la danse de Willi Dörner nous avons vu une autre manière de danser en remplissant les espaces de la ville. (une autre forme d’art)

Laura

Ces œuvres, étaient assez étrange et assez éloignées de ma perception de la danse. Je pense que 100% Marseille est une idée recherchée et intéressante. Gala de Jérome Bel également. Ce qu’on a vu pendant l’heure montre que la danse n’est pas juste une prestation, on ne se contente pas juste de faire des mouvements en rythme mais on exprime notre corps, qui nous sommes. J’ai découvert d’autres styles, plus excentriques et drôle les uns que les autres.

Mélina

J’ai aimé cette séance de travail et ça m’a donné envie d’aller voir 100% Marseille. Au collège, on avait fais des performances comme celle d’Ana Halprin mais je n’avais jamais aborder le travail de s’adapter au corps et non au milieu. Cela m’a fait rire de voir mes camarades choqué et étonné au début de la séance quand on regarde des extraits comme « Willi Dörner ».

Lisa

Après cette séance, j’ai découvert de nouvelles choses, ce style de danse et cette façon de s’exprimer à travers la danse n’est pas nouvelle car j’ai pratiqué ce style pendant 4 ans au collège. Le projet 1OO % Marseille m’intéresse beaucoup car j’adore m’informer sur le monde, la population, je suis très curieuse. J’aime moins Gala de Jérome Bel car je suis moins sensible à ce style humoristique. Ces prestations ont parfois du mal à être reconnu comme de la danse, pour ma part je ne saurai les qualifier mais elles permettent une certaine remise en question de la société.

Louis

Bonne séance avec des réflexions intéressantes, ça aurait été mieux si on avait pu argumenter avec vous. Vous avez présenté des projets intéressants.

Mike

Gala de Jérôme Bel m’a le plus plu, c’était comique. Tandis que je n’ai pas vraiment apprécié les autres projets sauf 100% Marseille qui était intéressant. J’ai trouvé étrange, bizarre tous les autres projets.

Erwan

J’ai bien aimé Gala de Jérome Bel car il mélangeait de nombreux danseurs et j’ai pu m’identifier dans l’homme au tutu. Le projet 100% Marseille me paraît intéressant car il permet de survoler les chiffres et d’avoir une vision plus concrète des données. Pour les autres projets, je les ai trouvé étrange mais ils peuvent être intéressants. Pour moi les deux projets cités en premier sont intéressants.

Cyrielle

Projets très originaux, j’ai beaucoup aimé le principe de 100% Marseille c’est quelque chose que je pourrai aller voir. Je n’ai pas compris le principe de Corbeaux ni du projet de Willi Dorner, je ne qualifierai pas ça comme de la danse.

Mathis

Cette séance m’a permis d’observer de nouveaux types de danse, tout en m’apprenant que la danse nous permet d’être indirectement unis. C’était très intéressant.

Marien

Cette séance m’a appris des types et des pratiques de danses. Je me rends compte que je ne serais pas près à faire des représentations de ce type. Et c’était très intéressant l’histoire des liaisons avec 3 personnes.

Narimane

La première vidéo, celle sur les corps dans l’espace urbain, m’a intriguée. Je trouve ceci assez bizarre. La vidéo de Candoco, était très intéressante, je trouve que cela permet aux personnes « différentes » de s’exprimer et d’ouvrir l’opinion de la société, que je trouve assez renfermer. Le Gala de Jérome Bel, c’est une idée que je trouve particulière, mais ça me paraît étrange le faite, de représenter un spectacle improvisé. L’œuvre 100% Marseille, je l’ai trouvé plutôt « passionnante », le faite d’avoir l’opinion des personnes, de différentes âge, origine, leurs vécu, nous permet nous spectateurs de découvrir des personnes, de ne pas s’apprêter a une apparence physique ou autre. L’œuvre de Bouchra Ouizgen, est une œuvre ingénieuse ! Généralement j’ai aimé.

Yohan

Durant cette séance, j’ai appris à en savoir plus sur la danse et les artistes en général. J’ai notamment découvert différente façon d’expérimenter la dance dans des spectacles grâce aux extraits que nous avons regardés. J’ai aussi découvert différent comme Gala que j’ai trouvé original. Cette séance m’a apprit beaucoup de choses.

Rayan

La scène Gala de Jérome Bel m’a plu et était drôle. La scène Corbeaux m’a fait penser a un rituel. Candoco était plutôt émouvant. Dans l’ensemble cette séance m’a plu.

William

La séance était intéressante et bien préparée.

Yvana

Personnellement dans toutes les représentations montrées je trouve qu’elles sont différentes. Elles ont un art différent. Mais je ne voyais pas la danse sous cette forme, elle va dans tous les sens d’ou l’improvisation. J’ai beaucoup aimé Gala de voir toutes personnes, enfants, hommes, femmes, personnes âgées et personnes handicapées. Ça ouvre les portes à tout le monde chacun ayant une histoire à raconter. Ce qui sensibilise le plus est la présence des personnes handicapés même étant dans un fauteuil roulant la personne trouve un moyen de danser, de sa façon.

Marion

Tous ces artistes ont un but qui est de réunir des personnes différentes pour représenter la diversité du monde à petite échelle… J’aime cette idée de partage et surtout de ne laisser personne de côté. De cette manière là, si les gens discutent entre eux, les gens pourront avoir des visions différentes et changer leur regard sur la société. La danse peut être un bon voir excellent moyen de changer les choses pour que personne soit délaissé. Le projet 100% Marseille est dans cette optique. L’idée où rien n’est imposé, est plutôt pas mal, de partir des danseurs pour écrire un spectacle et réfléchir ensemble, je trouve ça cool car pas tout le monde le fait.