Ateliers danse au Collège Fraissinet

Les ateliers ont commencé avec la classe de 4° du collège Fraissinet d’Audrey Oullier, dans le 4ème arrondissement à Marseille.

Cette année, c’est l’artiste Elena Thomas qui intervient auprès de cette classe très motivée.

Elena a débuté sa formation à l’Ecole Nationale Supérieure de Danse de Marseille puis au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Lyon. Son parcours d’interprète l’a mené d’Europa Danse, compagnie pour jeunes danseurs, à plusieurs grandes compagnies comme le Ballet National du Rhin, La Mov’, implantée à Zaragoza en Espagne ou la National Dance Company Wales à Cardiff. Elle se réinstalle à Marseille en 2018 pour développer des projets personnel comprenant un volet transmission.

Dans les ateliers, les adolescents explorent le thème de « démocraties ». Ils ont ainsi choisi plusieurs mots, en rapport pour eux avec cette notion. Avec Elena, ils inventent une chorégraphie basée sur un code gestuel des bras et des mains, en rapport avec les mots proposés.

Des modules à deux permettent d’expérimenter la confiance à l’autre, en se laissant manipuler ou en travaillant en appui avec le corps de son camarade.

Des matinées très intenses, où les jeunes donnent le meilleur d’eux-mêmes…

La restitution de leur travail sera montrée le 15 juin pour l’ouverture du Festival de Marseille à la Friche la Belle de Mai.

La danse vue par l’école maternelle Bernabo

Les grandes sections de l’école maternelle Bernabo (classe de Guillaume Caytan) ont illustré, après la première intervention en classe, leur vision de la danse. Une série de bonhommes en action, mais aussi des baleines qui dansent dans la mer ou un cosmonaute effectuant une chorégraphie dans sa fusée.

La danse vue par les CE1 de l’école Fraissinet

Les CE1 de l’école Fraissinet de la classe de Nathalie Ocana participent au parcours du danseur du Festival de Marseille. Ils ont commencé le projet par réaliser un dessin sur leur vision de la danse.

École National – CE2 et ULIS- nos impressions

Pour la séance de découverte de la danse sur le thème « Monde d’histoires, Histoire du Monde », les CE2 et la classe ULIS de l’école National  ont eu l’occasion de découvrir des danses qui s’inspirent du corps ou des histoires des interprètes pour interroger le monde. Leurs réactions ont été écrites à l’issue de la séance.

J’ai aimé la danse hip-hop. Je n’aime pas le dictateur car il assassine les gens et il est méchant. Fayad

J’ai aimée comme ils dansent dans GALA. J’ai aimée aussi 100% Marseille parce que c’était joli et intéressant. Je n’ai pas aimée les Congolais parce que ce n’était pas joli. Dorya

J’ai aimé le salto arrière et un monsieur qui a aidé une adolescente à monter sur les épaules du monsieur. J’ai aimé car c’est impressionnant. Je n’ai pas aimé le monsieur avec une robe et 100% Marseille. Je n’ai pas aimé parce que c’est très inhabituel et vraiment rigolo. Louise

Ce que j’ai aimé c’est la danse congolaise, parce que je danse de la même façon. Ce que je n’ai pas aimé, c’est la danse de Serge-aimé Coulibaly. Je n’ai pas aimé parce que je n’aime pas leurs façons de danser. Anita

J’ai aimé le moment où on a vu un extrait de Jérôme Bel parce que c’était rigolo. Je n’ai pas aimé le spectacle 100% Marseille à cause des moments « moi – pas moi ». Aïda

Pour moi, ce que j’ai aimé c’est le spectacle 100% Marseille parce qu’ils ont posé des questions bizarres. Je n’ai pas aimé celui de Serge-Aimé parce qu’il y avait un dictateur. Sarah

Je n’ai pas aimé le spectacle 100% Marseille parce que c’était ennuyant. J’ai aimé quand le danseur a porté quelque chose sur ça tête. Sama

J’ai aimé l’histoire de Serge Kakudji et le spectacle GALA. J’aime bien GALA, c’est les danses que j’ai aimées. Je n’ai pas aimée Candoco parce que je n’ai pas trop compris ce qu’il se passait. Nyma

J’ai aimé le congolais Serge Kakudji quand le monsieur a fait un saut et il y avait un monsieur qui ressemble à Aubameyang. Je n’ai pas aimé GALA de Jérôme Bel. Mehdi

Ce que j’ai aimé c’est quand Serge Kakudji faisait de l’opéra. Ce que je n’ai pas aimé c’est Candoco parce qu’il faisait la langue des signes. Nawoid

J’ai aimé quand ils ont fait des cabrioles et le « coup FATAL ». Il n’y a rien que je n’ai pas aimé. Fares

J’ai aimé parce qu’il y avait des danseurs qui faisaient des gestes rigolo et des « yamakasi » qui ont fait le spectacle. J’ai aimé aussi le monsieur avec le tutu dans GALA de Jérôme Bel. Je n’ai pas aimé les gens qui se bagarrent pour des choix dans « coup fatal ». Yanis

Je n’ai pas aimé la danse Congolaise. J’ai aimé la danse dans Gala de Jérôme bel quand c’était la danse de Michael Jackson. Nour

J’ai aimé ce qui faisait rigoler comme GALA de Jérôme Bel. Je n’ai pas aimé Candoco et ce qui ne faisait pas rigoler. Angelina

J’ai aimé quand les Congolais ont dansé et leurs manières de bouger. Je n’ai pas aimé le spectacle de Serge-aimé Coulibaly parce que ce n’était pas intéressant. Nassim

J’ai aimé quand le monsieur a mis la chaise sur son nez. Je n’ai pas aimé quand il a frappé l’autre monsieur. Ahmad

Ce que j’aime c’est GALA de Jérôme Bel parce qu’il m’a fait beaucoup rire. Ce que je n’ai pas aimé c’est coup fatal parce qu’il ne m’a pas fait rire. Aïdam

J’ai aimé quand on a regardé les danses africaines parce que c’est trop rigolo. Je n’ai pas aimé la danse de Serge Aimé Coulibaly parce qu’il y avait la guerre. Abdeljalie

J’ai aimé la danse où il y avait des sitars parce que c’est une musique que j’ai déjà entendu dans un film Congolais. Je n’ai pas aimé la danse congolaise parce que je n’aime pas leurs vêtements. Izdati

J’ai bien aimé cette séance car j’ai appris des danses nouvelles et rigolotes. Je n’ai pas aimé quand il y avait des danses que je connaissais déjà. Yoan

J’ai aimé quand les danseuses ont dansé parce que ça ma fait rire. Je n’ai pas aimé quand le danseur avait un tutu parce qu’il dansait bizarrement. Asmira

 

Lycée Joliot Curie – retour sur la danse engagée

Pendant la séance, nous avons parlé de chorégraphes et d’artistes qui défendent une pensée politique à travers leur art, qui parlent de l’histoire du monde pour proposer une vision de la société dans son ensemble. Avec les élèves de 1ères du Lycée Joliot Curie, nous avons pu aborder certains sujets graves et analyser ensemble cette manière d’aborder la création artistique. Voici leurs retours à l’issue de la séance.

Pendant la séance on a évoqué plusieurs chorégraphes dont celui qui va s’occuper de nous pendant 5 séances. Nous avons visionné de nombreuses vidéos, certaines en rapport avec l’histoire du chorégraphe qui l’a créé. Nous avons également visionné des transpositions de la pièce de Shakespeare : Macbeth. Nous avons vu aussi une sorte de musée humain. Les sujets abordés peuvent être des sujets sensibles et il est bien que des chorégraphes transposent leurs histoires. Laura

C’était intéressant de ressentir autant d’émotions à travers la danse, la musique utilisée et parfois même les paroles. Les mouvements sont très expressif et le message à faire passer est en général compris par celui qui écoute et regarde la représentation. J’aime aussi beaucoup le fait de défendre des causes à travers l’art.

Les extraits visionnés nous ont appris de nombreuses dance et des impressions différentes. Des émotions, notamment vis-à-vis de la guerre au Congo, avec la scène où la femme raconte son expérience.

La séance m’a donné une autre vision de la danse, c’est un art engagé aussi. J’ai préféré la danse avec le crew «Flex’n ».

J’ai bien aimé le spectacle de Dorothée Munyaneza car le thème (génocide au rwanda) m’a touché.

J’ai bien aimé le mélange de style dans « coup fatal ». C’est intéressant de pouvoir unifier/réunir les gens par la danse. Communiquer et faire passer des messages en dansant me semble très efficace. Dorothée Munyaneza est très touchante dans son spectacle autobiographique sur son adolescence au Rwanda. Mais j’ai pensé que c’était plus du théâtre que de la danse.

Mon spectacle préféré a été Flexn, j’ai beaucoup aimé les changements d’énergie dans les différentes scènes. J’ai beaucoup aimé les mouvements et les types de danse proposé. Certains mouvements étaient impressionnants. J’aime beaucoup les danses de rue. Les moments lent et calme procurent beaucoup d’émotions comme la tristesse. Cela montre aussi que l’on peut dénoncer à travers la danse et l’art.

Ces spectacles étaient émouvants et prenant. Ils étaient tous bien dansé et appréciable à voir comme à entendre. L’histoire des génocides était très questionnable. Ryan

Durant cette séance, les différents extraits regardés étaient fort intéressants. En effet, au fur et à mesure, j’en apprends de plus en plus. L’histoire des génocides ma beaucoup interpellé. Yohan.

J’ai bien aimé cette séance sur les émotions transmises par les danseurs (Notamment leur souvenir). La femme qui racontait le génocide du Rwanda m’a beaucoup touché. Les performances de Flexn m’ont également beaucoup plus : C’est très plaisant à regarder et moderne. On peut voir que les horreurs de notre monde peuvent être expliquées à travers la danse.

J’ai appris aujourd’hui que la musique et la danse pouvaient provoquer des émotions (Tristesse, joie ou encore la peur). Nous l’avons vu par exemple dans l’extrait du spectacle de Dorothée Munyaneza (Inspire la peur puisqu’elle raconte les images du génocide qu’elle a vu au Rwanda). Nous avons vu des émotions aussi dans une forme de Hip Hop : Flexn (tout d’abord par le choix de la musique mais aussi par des mouvements fluides et grands). Léa

Pendant cette séance, Nous avons vu différents artistes. Comme Serge-aimé Coulibaly. Il y avait du HIP-HOP dans un extrait. Il y avait un extrait qui exprimait la révolte. Léa

Mon préféré : Flexn. C’est un spectacle que je pourrais aller voir parce que j’adore le hip-hop, les danses de rues et parce que ça dénonce quelque chose. Munyaneza n’est pas un spectacle que j’irais voir mais j’ai trouvé l’histoire touchante.

J’ai bien aimé le spectacle de Brett Bailey car il raconte une histoire en la modernisant. Il permet de montrer la face caché de la mondialisation. Cette séance était orientée vers les massacres survenus en Afrique. Lamia

J’ai bien aimé encore ces vidéos de danse, surtout où c’était les africains, mais au moment où ils ce déboitaient les épaules ça me dégoutais un peu et j’avais du mal à regarder. Mais c’était plutôt bien aussi quand il y avait un groupe qui faisait comme de la danse de rue. Ylvana

J’ai aimé découvrir le travail de Serge Aimé Coulibaly car nous allons travailler avec lui. Je découvre aussi qu’on peut exprimer des sentiments et raconter des histoires en dansant. Je trouve ça intéressant mais j’ai du mal à reconnaitre ce qu’expriment les gestes. Lola

J’ai bien aimé les idées de Serge-aimé avec son point de vue sur le monde, que l’on est tous identique et que ce n’est pas parce que l’on appartient à un continent, ville, … que l’on doit être identique à eux. J’ai bien aimé aussi le spectacle nous présentant le génocide car il permet de faire passer un message fort. Clément

Je n’ai pas grand-chose à dire, comme toujours instructif mais pas assez ouvert au débat. L’art n’est qu’une question de point de vue. Louis

La séance m’a plu. J’ai hâte d’aller voir le Sacre du printemps car il a l’air très intéressant. On a beaucoup parlé des transpositions/Adaptations comme celle de Shakespeare. On a abordé de nombreux thèmes du pouvoir et de ses conséquences. J’ai beaucoup aimé le petit extrait Flexn, ça m’aurait vraiment plu de le regarder. On a donc pu remarquer que la danse raconte une histoire même si elle peut paraitre abstraite. Hâte d’entamer le projet. Mélina

La séance a été composée de spectacles plus intéressants car plus engagés. J’ai aussi aimé le coté chant avec les chœurs. Je trouve ça plus puissant car l’ensemble des gens donnent une « force de conviction ». Mais je n’ai pas trop aimé les spectacles trop « histoire » avec moins de dance. Marien

Les danses qui mélangent opéra et danses du Congo m’ont beaucoup surprise : On n’imagine pas mélanger ces deux styles d’art, mais le résultat est vraiment bien ! Le spectacle qui raconte le massacre à la guerre civile est très touchant. Le jeune homme qui se déboite les épaules est vraiment impressionnant ! Enfin les danses avec 40 danseurs sont recherchées et donne un très bon truc ! Lila

Cette séance nous a montré l’horreur de la guerre en Afrique, que des personnes étaient exposées comme des objets du fait de leur couleur de peau. La danse montre la souffrance des peuples. Ils souhaitent montrer qu’ils ne sont pas différents en inventant la SAPE.             Jade

Mon préférée, c’est le spectacle de Dorothée Munyaneza car elle nous met face à ce qui s’est passé et on n’a pas d’autre choix que d’accepter la réalité. J’aime aussi Flexn car le monde et l’histoire Américaine m’intéresse et quand il se disloque épaules, on a mal pour eux. Marion

Cette séance m’a vraiment bien permis de visualiser ce que des personnes dites « différentes » ressentent à cause des guerres et génocides qui sont très brutal et marquante. Ils nous font ressentir leur souffrance vécue, ce qui est assez triste. Ils souhaitent, à travers la sape, le mélange de culture, de voix (Ex : Un homme avec la voix aigüe), nous montrer qu’ils ne sont pas différents et que la danse n’a pas de frontière. (Ils dénoncent la discrimination au niveau ethnique). Narimane

 

Ateliers avec Serge-Aimé Coulibaly et Hippolyte Bohouo

Trois établissements travaillent avec Serge Aimé Coulibaly, chorégraphe de la Faso dance théâtre compagnie qui présentera Kalakuta republic le 9 juillet au Festival de Marseille au MUCEM. Ce dernier travaille en collaboration avec Hippolyte Bohouo pour animer des ateliers de création auprès des CM1 de l’école Lapin Blanc, des 5èmes du Collège Villon et des 1ère du Lycée Joliot Curie à Aubagne.

Les trois classes auront un moment commun lors de la restitution à la Friche, le vendredi 26 juin 2017 à 18h, mais travaillent chacune sur des séquences différentes. Les 5èmes explorent le jeu des statues et ont crée des chorégraphies par petits groupes sur des rythmes saccadés, les 1ères se sont inspirés d’objets ou de personnages célèbres, ou du principe de raconter une histoire en cadavre exquis. Avec les CM1, nous avons travaillé sur les émotions, toujours en groupes. Chacune classe raconte son histoire et montre sa personnalité dans la danse !

Retour sur la séance -école Lapin Blanc

La deuxième séance de la thématique « Monde d’histoires, Histoire du Monde » est très politique ! Avec les enfants, nous avons parlé de chorégraphes qui défendent, à travers leur danse, l’égalité et la liberté. des artistes qui pensent que l’on peut parler d’histoires personnelles, mais  aussi de l’Histoire du Monde par le biais de l’art, pour partager des émotions. Voici les impressions des enfants de CM1 (classe de Laetitia Gosselin) de l’école du Lapin Blanc sur cette séance.

J’ai aimé même si on a fait que de parler de choses tristes, moi sur ce dont on a parlé moi je trouve que c’est injuste, que ça se fait pas de diviser un village en deux et que une des deux parties fassent la guerre contre l’autre partie. Je trouve que c’est triste ce qu’a vécu Dorothée Munyaneza ça me fait peur mais d’un autre côté je suis en colère car je n’aime pas la guerre. J’ai ressenti de la tristesse de la colère et de la peur et en plus je trouve que le racisme n’est pas juste, tout le monde peut danser qu’on soit noir ou blanc, on peut danser sur la musique que l’on veut où on veut et comme on veut. Jasmine

Aujourd’hui, tout m’a intéressée, les danses, les chants, les vidéos et bien sur les histoires ! En un mot, tout était super. L’histoire de Fela était terrifiante ! Le pauvre, on lui a brulé sa maison ! et tué sa maman. En un mot tout était génial. India

J’ai aimé parce que c’était trop bien les extraits étaient intéressants il y avait de la violence, une ou deux fois de la joie et j’ai bien aimé l’histoire de zombie. Veronika

J’ai aimé car cela m’a appris des choses sur la danse sur Serge Kakudji et sur Fabrizio Cassal et enfin sur Serge –Aimé Coulibaly. Moi perso je trouve que les blanc et les noirs sont pareils la couleur ne permet pas de juger la personne ; Elle est peut être présidente et quand les gens sont racistes ça abime le monde. Merci aurore et Séline. haris

J’adore les bras cassés j’ai bien aimé Selin la nouvelle et Aurore. Surtout j’ai hâte de rencontrer Serge Aimé Coulibaly un professionnel de danse. Céline

J’ai aimé car j’ai beaucoup appris et j’ai beaucoup aimé Brooklyn. J’ai tout aimé. Sofiane

J’ai beaucoup aimé car ça m’a appris des choses sur Serge –Aimé Coulibaly qui exprime beaucoup de choses. Et aussi sur Fela Kuti qui était trompettiste et il jouait très très bien de la trompette. Mais Dorothée Munyaneza était très belle elle était magnifique et en plus elle raconté sa vie comme dans Flexn. (C’était trop bien, j’ai adore) Hiba

J’ai aimé car j’ai adoré revoir le spectacle de Reggie Rock. J’ai aimé aussi le spectacle de Serge Kakudji de Alain Platel et de Fabrizio Cassol. C’était rigolo, même trop. Léo

J’ai aimé car l’histoire du pays m’a intéressé, j’ai appris ça avec de la danse. Comme quoi on peut tout savoir ! Maxence

J’ai pas aimé il y a trop de violence c’est trop triste. Christophe

J’ai aimé car j’ai appris plein de trucs et plein d’autres choses et les sentiments j’ai eu de la peine car c’était triste. Lorenzo

J’ai aimé quand elle a mis la musique de Zombie. Lionel

J’ai aimé parce que les spectacles étaient bien réalisés et que c’était rigolo aussi il y avait des émissions. William

J’ai moyennement aimé car je n’ai pas aimé Dorothée Munyaneza mais j’ai adoré le Flexn tout comme Coup fatal et aussi le spectacle de Serge – aimé coulibaly. En tout j’en ai aimé 3 sur 4. Julien

J’ai aimé car c’était très intéressant. Au spectacle de Dorothée Munyaneza j’ai ressenti de la peine, de la peur et de la colère. J’adore la danse ! Céline

J’ai rien aimé car je me suis ennuyé. Sauf le bras cassé car j’en ai fait avec mon papa. Clément

J’ai tout aimé, j’ai aimé Serge Kakudji, Alain Platel, Dorothée Munyaneza. Lisa

Moi j’ai beaucoup aimé surtout l’extrait sur Dorothée Munyaneza car ce qu’elle a voulut représenter m’a énormément toucher j’ai ressenti des émotions très fortes comme la tristesse ou la colère surtout que la colère parce que je trouve que ça ne se fait pas de venir sur le territoire de personne et de les tuer parce qu’ils n’ont pas la même couleur de peau c’est du racisme et c’est mal. Elisa

Ce que j’ai aimé c’est quand on a parlé de Dorothée Munyaneza. Quand j’ai écouté son histoire j’ai ressenti de la peur de la colère et de la tristesse J’avais les larmes aux yeux. J’ai bien aimé voir la danse de Serge Aimé Coulibaly, ça a été triste l’histoire de Dorothée Munyaneza. J’ai beaucoup aimé le rap la chanson et la chorégraphie. Elyes

Parfois je ressentais de la peur, parfois de la joie , de la tristesse. Par exemple pour Fela son histoire et celle de Dorothée qu’elle a vécu quand elle avait 12 ans seulement ça devait être très compliqué de vivre par terre avec des morts ou des vivants. Inès

J’ai aimé car j’ai revu Flexn que j’aime bien et Coup fatal avec Serge Kakudji. On a vu Serge-Aimé Coulibaly (celui qui va danser avec nous ) Des professionnels faisaient des acrobaties. Antoine

Aujourd’hui , nous avons parlé de Serge Kakudji qui a mélangé des danses avec Alain Platel et Fabrizio Cassol leur spectacle s’appelle : coup fatal.

Il y avait aussi Dorothée Munyaneza qui a été chassée de son propre pays, elle a du s’enfuir avec sa famille sauf son frère qui était dans un autre pays et Dorothée n’a pas vu sa mère pendant trois mois. J’ai beaucoup aimé. Stella

Dessiner ma danse- école la Feuilleraie

Les CE1 de l’école la Feuilleraie (classe de Vanessa Bazso) ont participé à un atelier de découverte dansée sur le thème « le voyageur imaginaire ».

Les yeux fermés, les enfants devaient illustrer une histoire : être sous l’eau, d’abord comme un galet, puis une algue, imaginer les vagues et les poissons… Puis s’imaginer sous la pluie, jouer dans les flaques ou au contraire explorer le thème de l’air pour représenter un oiseau. Par binôme, les enfants se sont ensuite observés pour tenter de décrire les mouvements de leurs camarades et essayer de verbaliser les images produites par la danse.

Dans un deuxième temps, les enfants ont dessiné leur danse dans une production qui devait impérativement être abstraite. Ils ont choisi 5 couleurs qui représentaient le mieux ce qu’ils s’étaient imaginés et ont eu droit à 3 minutes par couleur (des contraintes naît la créativité !).

Ateliers avec Dorothée Munyaneza

La chorégraphe et chanteuse Dorothée Munyaneza présentera Samedi détente au Festival de Marseille, une pièce autobiographique sur le génocide rwandais, vécu du haut de ses douze ans. Elle sera également présente au Festival d’Avignon avec sa dernière création, Unwanted.

Depuis le mois de février, Dorothée Munyaneza anime des ateliers de création chorégraphiques avec 4 classes marseillaises : les CM2 de l’école Félix Pyat, les CE2-CM1 de l’école Air Bel, les 6èmes des collèges Triolet et Versailles.

En primaire, les ateliers s’organisent autour de l’imagination des enfants, à l’école Félix Pyat, les enfants ont pour mission d’observer les personnes âgées et de chercher comment les incarner dans le corps, à l’école Air Bel, nous travaillons autour des langues du pays d’origine des enfants avec le mot « danse » dit dans ces différentes langues. Les enfants ont aussi joué au lion et à la proie en s’avançant tout doucement, tous ensemble, à l’unisson, un jeu de concentration et d’écoute.

Un projet danse inclusif Roquevaire-Marseille

Trois établissements scolaires travaillent avec deux jeunes chorégraphes du MarsLab, un dispositif pour jeunes artistes du Festival de Marseille : les enfants et adolescents suivent des ateliers avec Roméo Nasser, chorégraphe hip hop d’ATL crew et Chloé Beillevaire, formée à la danse contemporaine.

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